Cabinet Gauthé&Bowman

LA CULTURE D'EXCELLENCE SE FONDE
SUR UNE POSTURE D'EXCEPTION.
IL ÉTAIT UNE FOIS UNE POSTURE INDIVIDUELLE D’EXCEPTION…
Un parcours d’excellence n’est pas le fruit du hasard.
C’est essentiellement une posture individuelle remarquable : la décision de l’excellence associée au sens de l’engagement. Celui d’une vision manifeste, soutenue par des valeurs fondamentales qui forgent une culture d’entreprise notable, de haut niveau.
L’excellence devient alors son standard.
Aussi, elle révèle une grandeur intrinsèque, tel le marqueur visible d’une Haute opinion fondamentale de soi-même, qui sait nous définir à notre juste valeur et nous situer à notre juste place. Pas en deçà.
La congruence entre ce que nous sommes et ce que nous faisons.
Pas n’importe qui comme pas n’importe quoi !
Simplement celui qui se respecte et n’exige alors pas moins en conséquence.
Cette exigence-là place en position de responsabilité noble, que de créer et d’obtenir par, avec et pour soi-même le fruit de sa décision, au sein d’une dynamique fédératrice.
De fait, porter la haute ambition qui nous anime et la formaliser.
S’engager ipso facto dans une dynamique d’excellence.
Nous le valons bien nous dirait un certain slogan publicitaire.
J’ajoute, j’ai décidé que le valais bien !
Pourtant, cette culture pâtit de beaucoup de préjugés parce qu’elle est confondue avec la perfection. Or l’une et l’autre sont diamétralement différentes et apportent des résultats opposés.
Excellence et Perfectionnisme sont antinomiques.
En effet, nous ne sommes jamais dans l’excès avec l’excellence.
Ni d’excès de soi, ni d’excès dans l’action.
Ni davantage d’un fonctionnement excessif au sein de son organisation.
Une posture individuelle d’exception ne peut fondamentalement se définir comme démesure. Elle est une attitude mentale journalière où le challenge s’associe à l’endurance grâce à une maturité et un équilibre internes qui assurent la performance, en nous situant toujours au-dessus des « obstacles » ou d’un environnement dégradé, quelle que soit sa nature.
Maintenir un haut niveau d’inspiration comme d’appétence et ne se laisser nullement impacter à mauvais escient advient lorsque nous n’avons plus rien à légitimer ni à valider nous concernant. L’objectif est bien supérieur et fait aller à l’essentiel.
LA HAUTE PERFORMANCE AU SERVICE DE L’EXCELLENCE.

Le hasard n’est pas de mise face à des enjeux stratégiques majeurs.
Une culture d’excellence est intrinsèquement liée à la performance, soit l’efficience. Elle ne saurait être esthétique. Sa fonction est d’ériger une entité à haute valeur ajoutée, formés de précieux talents, conférant une notoriété autant qu’un avantage concurrentiel certain, stables et pérennes, difficilement égalables, voire non-duplicables, justifiant sa raison d’être.
Dit autrement, à Hauts objectifs, Hauts moyens, avec une attention portée sur la cohésion des meilleures compétences visant la performance générale et le résultat collectif.
Aussi cette ambition induit un processus maitrisé qui favorise la meilleure expansion à chaque niveau et stimule la créativité comme la proactivité pour l’ensemble des acteurs concernés. Au sein d’un cadre professionnel privilégié spécialement étudié et conçu pour accomplir l’excellence, avec le leitmotiv de se dépasser pour son propre bénéfice personnel. Soit avec sens, cohérence, des règles explicites et une organisation stable.
Tel est le sens même de la Haute performance.
La finalité de l’excellence.
Nous forger à accomplir fidèlement ce que nous sommes, grâce à une culture et un environnement des plus féconds.
LA STATURE D’EXCELLENCE DU DIRIGEANT : INCARNER CETTE CULTURE.

En tant que dirigeant, conduire ses collaborateurs vers leur niveau le plus élevé requiert la meilleure attitude qui soit. Assurément, il est indispensable pour un dirigeant d’envergure de maitriser un haut niveau de performance comportementale, soit un leadership authentique.
L’influence comme l’autorité sont alors naturelles, parce que l’engagement est incarné au quotidien.
Le dirigeant est le modèle.
Celui qui inspire, challenge, valorise, élève, fédère en instillant la culture d’excellence, l’état d’esprit de n’exiger rien que le meilleur, par respect pour soi. Pas en deçà.
Seule alors reste l’exigence d’accompagner chacun à repousser, lever les freins résiduels, dans le but qu’il soit, à terme, dans sa pleine performance individuelle face à des objectifs challengeants.
C’est pourquoi en tant que dirigeant, il convient d’apprécier avec soin que les missions confiées soient en cohérence avec le potentiel du collaborateur investi. Soit qu’il peut assumer avec enthousiasme. Elles doivent, en effet, inciter chacun à se surpasser, se challenger avec succès.
Il n’est pas attendu, en effet, que cela le mette en difficulté et entache sa motivation comme son estime individuelle, parce que l’écart entre son aptitude professionnelle et la responsabilité est trop important.
Aussi, l’excellence du management passe par la confiance.
Déléguer c’est considérer.
Confier c’est reconnaitre, consolider, affermir là où c’était réceptif.
La confiance n’est pas aveugle, elle est soupesée à sa juste valeur, par ce que l’exigence n’est pas un vain mot au sein de l’organisation, elle est la 𝘯𝘰𝘳𝘮𝘦.
Dans ces conditions, l’attitude du dirigeant est déterminante pour emmener ses équipes là où ils pensent impossible via une culture d’entreprise visant à confirmer la valeur professionnelle de chaque collaborateur, qui comprend dorénavant que seul celui qui se respecte est exigeant.
L’erreur est alors celle qui forge la détermination, en portant l’attention uniquement sur celle-ci et non sur son auteur. C’est uniquement dans cette optique qu’elle est alliée.
La confiance devient réciproque.
Elle s’accompagne obligatoirement d’une haute disponibilité vis-à-vis de ses collaborateurs.
La posture n’en est que renforcée.
Un leader forme des leaders, non des subordonnés.
Tel est ce qui conduit au résultat d’exception.
La somme des performances individuelles couplée à la maitrise de sa valeur ajoutée, confirme la supériorité comme la renommée de l’institution.
La culture d’excellence comme norme d’exigence à titre individuel et collectif n’a pour sens qu’une seule finalité : l’intensité comme l’effervescence de tout ce que nous sommes capables.
Pas en deçà.
L’excellence pour standard.
Celline Demotier – Consultante & Executive coach certifiée.
Excellence professionnelle et Haute performance.

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